flooding : RAYMOND DOMENECH, la similitude de la situation actuelle avec celle de 2002 peut-elle être un problème pour l'équipe de France ?
R.D. : Non, je trouve plutôt que c'est un signe extraordinaire. C'est exactement la même situation, avec le besoin de gagner par deux buts d'écart pour se qualifier. En 2002, ils n'avaient pas réussi et là on leur redonne cette chance. Il y a peu de gens qui, dans leur vie, ont deux fois la même chance, dans la même compétition, dans les mêmes conditions, pour prouver que la première fois était un accident. Je trouve que c'est un signe du destin fabuleux. Ils ont leur destin entre les mains, à eux de le saisir.